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"Dès que tu as envie de faire quelque chose ou même de dire quelque chose, cette sincérité peut être prise comme de l’arrogance. "

Jean Dujardin

Salutations l'ami(e) qui lit ces quelques lignes, te voilà plongé dans la vie d'un étudiant qui s'est retrouvé catapulté sur Bruxelles pour une durée de 6 mois. Mais ne t'inquiètes pas, il n'y a rien de brutal là-dedans, tout était calculé et anticipé.

 

Figure-toi que cette épopée va s'ajouter au livre de mes expériences. Expériences qui ont été riches et enrichissantes, puisqu'en effet j'ai eu l'occasion d'effectuer mes précédents stages en Inde, Angleterre ou encore Argentine. Mais cette fois, je suis resté raisonnable en ayant trouvé un stage en Europe mais qui n'en reste pas moins intéressant et qui garde tout de même une part de challenge. 

 

Parce que "OUIII" mesdames, messieurs, vivre dans un pays Européen, loin de sa famille, cela reste un vrai challenge. Même si comparé à mes précédentes destinations je ne risque pas de choper la turista, je ne risque pas non plus d'avoir du mal à changer mes Euros dans la monnaie locale, mais contrairement à ces pays, ma vraie crainte concerne le côté financier de l'expatriation. En effet, la vie dans la capitale Européenne s’avère nettement plus élevée qu'à Bangalore, Buenos Aires ou encore Lille.

 

Ce que je te propose de lire dans les lignes qui vont suivre ce sont mes moments ; de joie, de tristesse, de coups de cœur, d'anxiété, de plaisir, de nostalgie, de réjouissance. Tout cela en combinant des moments passés au sein de ma vie professionnelle mais aussi au sein de ma collocation (que nous appellerons comme le disent les Belges : "kot").

 

Alors n'hésite pas, sers t'en comme livre de chevet, enjaille-toi avec des ami(e)s lors de séances nocturnes dans une grotte en pleine nuit d'hiver (cf: le cercle des poètes disparus) et surtout n'oublie pas que tout ceci n'est que le reflet de mon esprit (dérangé, malade et nul en français).

 

Bisous Bisous la Famille sisi.

Epilogue :

Introduction :

Hey l’ami(e), me revoici devant mon écran en train de tripoter mon clavier (rien de sexuel là-dedans) afin de te raconter mes premiers jours, mes premières expériences trépidantes à Bruxelles.

 

Alors voilà, déjà 4 jours passés dans mon kot et j’ai pu y découvrir une partie de mes colocataires. Il y a ceux qui sont étudiants (ULB) et d’autres qui comme moi ont dégotté un stage dans les environs.

 

Ce qui est certain c’est que le choc des cultures et des nationalités est bien présent avec ; 1 Italien, 3 Belges, 1 Roumain, 2 Français, 1 Québécois, 1 Slovennienne, 1 Hollandais, 1 Espagnol. Il manquerait plus qu’il y ait  des caméras dans les différentes parties communes et on pourrait se croire dans le tournage d’une émission de télé-réalité baptisée « L’auberge Bruxelloise ».

 

Autant te dire qu’il y a moyen de bien s’enjailler comme il faut ! D’ailleurs ça parle déjà d’organiser une crémaillère tous ensemble et de planifier des repas entre colloc’. La deuxième partie me botte bien, aimant manger et boire je serais au Nirvana surtout si l’ambiance continue sur cette voie-là.

 

Et sinon j’ai commencé mon stage. 10 min en vélo de chez moi avec des pentes raides à vous prendre pour un cycliste du Tour de France en pleine étape de montage. La seule différence est : qu’ils ont l’habitude ... Du coup je vais me ramener sur Lille au bout de 6 mois avec une cardio d’enfer et des jambes en titane renforcé, on va m’appeler Godzilla tellement le sol tremblera à chacun de mes pas. OUIIIIII.

 

Bon je m’égare un peu là, revenons-en à mon stage.

 

Donc je disais, j’ai commencé mon stage Lundi et ça s’est bien passé. J’y ai découvert mes missions ainsi que mes futurs collègues de bureau. Contrairement à mes stages précédents, celui-ci est basé sur le Webmarketing. C’est-à-dire à améliorer la visibilité et le trafic du site Web « Sweeli » ainsi que le forum « Aidonoo », de ce fait je dois écrire et publier un article par jour touchant le thème de la santé, nutrition, du bien-être, des soins, du sexo ou encore du social.

 

Voici d’ailleurs mes premiers articles :

 

 

Pour le moment je ne sais pas trop quoi penser, on ne peut pas dire que je sois attiré par ce genre de sites et d’articles en général mais ça me permettra d’élargir mon champ vision. Et puis un stage est là pour te faire découvrir un métier, c'est ce que je fais et je verrais vers quoi tout cela va évoluer.

 

En tout cas si tu veux te marrer, tu peux aller sur « Sweeli » tous les jours vers 11h, j'aurais posté mon article. Ca te permettra de bien commencer ta journée (le rire chasse le stress) et moi ça gonflera mes statistiques d'audiences éhéh, comme on dit en marketing c'est une technique win-win ! En plus, offre spéciale : je te laisserais toucher mes jambes en titane renforcé à mon retour si tu commentes mes articles, mais attention faut que se soit constructif sinon c'est un double clako latéral gauche qui t'attend mon copain.

 

Je raconte ma petite vie mais il est temps pour moi de te laisser. Je dois me rendre à l’académie royale des beaux-arts de Bruxelles et je ne connais pas bien le chemin. Je sens que ça va être toute une expédition, heureusement le soleil est au rendez-vous !

 

Allez mes gens, à tchao bonsoir !

Chapitre 1 :

Alors ça y est, l’on ne peut plus se passer l’un de l’autre ! Nous revoici en tête à tête, toi qui me lit et moi qui t’écris.

 

Mais de quoi allons-nous pouvoir parler ? De quoi veux-tu que je te parle ?

 

Ah j’ai trouvé, un sujet qui va t’intéresser je l’espère, en tout cas moi il m’a passionné. Figure-toi que j’ai eu l’occasion cette semaine de visiter l’Académie royale des beaux-arts de Bruxelles, un lieu qui dégage une certaine atmosphère et une odeur dont tu te souviens toute ta vie.

 

Et oui, l’académie ressemble à une gare désinfectée (si tu es plus basé sur le réaliste) ou au château de Poudlard (si tu aimes les récits fantastiques). Avec de grandes et profondes allées, des plafonds tellement hauts qu’ils te font tomber à la renverse mais aussi des vestiges du temps passé ; avec des statues sans bras, des tableaux de Marylin Monroe et des dragons à qui il ne manque que le feu. Mais pas que, lorsque tu rentres dans les ateliers, un flow de créativité te frappe au visage … Tu ne peux que rester bouche-bée devant tant de beauté, d’ingéniosité.

 

C’est à ce moment précis où tu te prends à rêvasser (ferme les yeux), à t’imaginer cette salle en mouvement avec les machines qui vrombissent, qui crachent toutes sortes de liquides, cette salle qui doit être aussi bruyante qu’une gare aux heures de pointe mais qui à la fin, permet la création d’œuvres toutes resplendissantes les unes que les autres. Et cela à travers la technique employée mais aussi les formes réalisées. Imagine-toi une simple barre de métal, quelconque, qui se transforme au fil de journée en une sphère gracieuse. Je serais toujours aussi impressionné de voir ce que l’être humain est capable de faire, avec du temps, du savoir-faire et son esprit !

 

Attention, je vais compter jusqu’à 3 et tu ré-ouvriras les yeux .. 1 .. 2 .. 3 ! Allez viens, prends ma main et suis-moi dans une autre pièce, pour une autre histoire plus intime mais toujours aussi proche de ce qu’est ma vie actuellement.

 

Lançons-nous dans un second souvenir, mais que peut-il être ? Nous avons parlé jusqu’ici d’une de mes sorties, en dehors de mon kot, parlons à présent d’un évènement dans ce lieu plaisant !

 

C’est parti, à peine avons-nous pointé le souvenir du doigt que celui-ci nous aspire, pour nous retrouver au plus près de l’action. Nous sommes dimanche, il est 20h, les colloc’ se regroupent dans la cuisine, des groupes se forment afin de préparer le repas. Puisque oui, ce dimanche-ci, nous avons eu un diner entre colloc’, une bonne occasion de découvrir les mets de chacun des pays présents même si parfois cela ne représentait pas vraiment le pays maternel du colocataire.

 

De ce fait nous avons eu le droit à :

  • Une tortilla,

  • Un Chili con carne,

  • Des pates saumons / crevettes,

  • Du pondu (légume africain),

  • Des crêpes,

  • Un fruit du démon.

 

Alors maintenant le plus drôle est de savoir quelles nationalités étaient présentes puis de relier avec les différents plats ; Espagnole, Française, Roumaine, Belge. En sachant que le pondu + fruit du démon et Chili + crêpes font partie de la même nationalité.

 

Un repas fort intéressant qui a débuté par une inévitable partie d’échec, de Looping Loulies et qui s’est terminé par un bel exemple de cohésion de groupe et de respect de son prochain puisque chacun a aidé pour ranger/laver/nettoyer.

 

Bon, il est temps de rentrer, il commence à se faire tard et j’ai d’autres projets en vue, notamment concernant la St Valentin mais secret et bouche cousue d’ici là. Ne t’inquiètes pas je te raconterai tout.

 

Allez des bisous et rentre bien.

Chapitre 2 :

Eh ohhh, eh ohh je rentre du boulot *sifflote* !

 

Tiens salut toi, j’avais complètement zappé que nous avions rendez-vous, aujourd’hui ce mercredi, heureusement que tu es arrivé en avance dis-moi.

 

En plus tu tombes bien je devais changer l’eau de mon vase, tu vas m’aider. Et oui, la St Valentin a eu lieu samedi et ayant offert une rose à ma dulcinée il a fallu que je lui confectionne un vase, pour ne pas qu’elle dépérisse et garde toute sa splendeur (la fleur hein !).

 

En même temps, elle peut en avoir de la splendeur (les deux en ont, mais je parle encore de la fleur) ... je me suis bien fait entuber par la fleuriste, mais elle ne perd rien pour attendre ! Je lui prépare un petit cadeau dont elle m’en dira des nouvelles.

 

Tu veux savoir ? Aller je te raconte : Alors voilà l’idée, dans 6mois, juste avant de retourner en France, j’irais lui faire un petit coucou dans le but de confectionner un bouquet. Le but sera de prendre bien son temps, de ne pas être d’accord sur telle ou telle fleurs et une fois arrivée à la composition finale … lorsqu’elle me dira le prix, je lui dirais que je n’ai pas assez dans mon porte-monnaie, que je dois aller tirer de l’argent. Bien-sûr elle ne me reverra pas revenir !

 

De quoi ? Tu trouves ça complétement stupide ? Mais c’est le but cher(e) ami(e), comme diraient les Tontons Flingueurs : « les cons ça oses tout, c’est même à ça qu’on les reconnait » ! Donc OUIII monsieur (madame) c’est une bien belle connerie mais comme justification je vais citer, encore une fois,  le génie de Gainsbourg : « la connerie c’est la décontraction de l’intelligence, alors parfois je me permets d’être con ».

 

Bon passons, malgré cette péripétie malencontreuse, j’ai passé une excellente St Valentin. En effet, j’aime quand un plan se déroule sans accroc et c’est belle et bien ce qu’il s’est passé !

 

Déjà le temps était avec nous, il ne faisait pas trop froid et aucun vent à l’horizon, de ce fait notre petite marche pour aller jusqu’au restaurant fut agréable à souhait. Enfin pour moi en tout cas, il parait que j’ai réussi à sortir plus de 50 extraits de musiques différentes durant toute la marche (1h), j’y peux rien si je communique ma joie de vivre à travers la musique, mais ça aura bien fait rire ma dame tout de même.

 

Nous avons mangé ou et quoi ? Alors mon gars, accroche toi, je vais te faire rêver, frissonner, baver, trembler devant tant de beautés et de gouts ! Etttt action, voici ce que le restaurant « le petit boxeur » nous à servit :

 

 

Une île sans palmiers,

Ou flottait quelques crustacés,

Était garnis d’un riz de truffe,

Ou des crevettes et noix tartuffe,

Venaient se dorer la carapace,

Dans l’espoir d’être cocasse.

(Un risotto de truffe accompagné de crevettes et noix de st jacques)

 

Madame trouvant joli ce bœuf,

Le commanda illico presto,

Il arriva bien rôti comme sur la photo,

Laissant le taureau de ce bœuf veuf,

Mais tout de même dans son élément,

Entouré de toute cette verdure,

Il avait bien fier allure,

Sa vie arriva à son aboutissement.

(Steak bœuf avec salade)

 

 

 

C’était putain de bon mon copain, je me suis bien régalé et l’ambiance était chic sans être trop bobo. Une bonne soirée donc.

 

Fiouu a parler de bons petits plats et d’avoir chanté avec mon cœur cette petite poésie, j’ai le gosier tout desséché … c’est le moment de sortir la cagette à bières ! TAVERNIERRRRRR à boire qu’il nous faut, soif nous avons.

Chapitre 3 :

Wouah il est déjà cette heure-là ? Mais qu’est-ce qu’il s’est passé ... ou suis-je ?

 

De vagues souvenirs me reviennent à l’esprit, en fouillant dans mes poches je retrouve de la petite monnaie ça doit être ce qu’il reste de mon billet !

 

Mes jambes sont lourdes, ma tête bourdonne, j’essaye de me lever mais je me cogne contre mon plafond ! Aie, je retombe sur mon matelas, je pense que c’est un signe il faut que je reste couché.

 

Nan, impossible, je ne peux pas, je dois aller travailler. Motivation, persuasion, mon esprit est plus fort que le mal qui emprisonne mon corps. Allez 1 2 3 hop là. Me voici levé, je descends pars mon échelle et je joue un jeu de piste … 1 chaussette puis plus loin mon boxer bob l’éponge !

 

A force d’avancer et de ramasser mes vêtements je finis par arriver devant mon couloir ! Il est d’un noir absolu d’habitude mais cette fois quelque chose cloche, une lumière apparait puis disparait un peu comme un phare qui nous montre le chemin. Je me décide de me rapprocher et la surprise, je distingue une forme ronde orangeâtes accroché a un socle blanc et rouge, mais que cela peut-il bien être ?

 

Je tente de forcer le passage, d’écarter les barreaux qui bloquent mes souvenirs. Soudain, ça y est, j’y arrive, les barreaux qui m’empêchaient de me souvenir de ma soirée tombent en lambeau, tout devient clair et précis.

 

Je remonte loin, très loin pour me remémorer en détail tout ce qu’il s’est passé :

  • 17h, je rentre du boulot mon vélo n’a toujours pas de frein, j’esquive une voiture qui déboule de la droite.

  • 17h30, chez moi et détendu je commence ma séance de sport habituelle.

  • 18h40, je me lave je mange et je chill avec mes coloc’.

  • 20h, début des festivités l’on décide de jouer à un jeu de carte appelé « président » tout en buvant des bières.

  • 22h, Nicolas et moi partons en direction d’une fête étudiante appelée « PréFab ».

 

Voilà c’est ici que tout a commencé, aux « PréFab’ ». Il s’agit d’un before étudiant ou nous nous regroupons par cercle (en France nous dirons plus par confrérie ou BDE).

 

Chaque PréFab a donc une appellation différente. Nous nous sommes allés dans celui des « escargots ». Bien agréable ce lieu de dépravation absolu ! Tout est étudié pour limiter la casse et augmenter le plaisir. Et oui, les bâtiments sont fait de taules et de briques et ou une montagne de fût de bière n’attend qu’une chose … qu’on la gravisse !

 

L’ambiance ne m’a pas déboussolé, faut dire que nous sommes voisins avec les belges alors nous avons un peu le même état d’esprit. Bon ok il y en a toujours quelques protectionnistes qui sont là pour vous narguer et vous défier mais ça c’est comme partout, ça rajoute un peu de piment à la chose.

 

Parce que OUIIIII pour le coup j’ai été la proie de ces quelques protectionnistes, présent à la soirée, il a fallu que lave mon honneur, il a fallu que je montre que les cul-secs ne me faisaient pas peur. Bon ça m’a valu une belle gueule de bois, mais je suis équipé, du jus d’orange et c’est reparti !

 

Après plusieurs « affont » (leur mot pour dire cul-sec) nous sommes rentrés émécher mais pas pété à la maison. Bien évidemment, la maison étant fraichement terminé elle est un peu vide de l’intérieur. Les murs blancs et sans tableaux font triste à voir.

 

Mais c’est sans compter sur notre talent de décorateur d’intérieur. Ni une ni deux ne nous voilà lancé dans les rues de Bruxelles pour dénicher la perle rare. Oh mais que vois je ? Un joli panneau mélangeant français et néerlandais ? Parfait pour débuter une nouvelle langue. Hop le voilà sous mon bras direction le kot. C’est en continuant notre chemin que nous sommes tombé nez à nez devant ce phare qui se trouve actuellement dans mon couloir.

 

Mais bien sûr, il s’agit là d’une lumière de signalisation. Prévue pour clignoter en permanence afin de prévenir des travaux sur la chaussée. Bon je dois avouer que ce n’est pas génial comme idée mais c’est une décoration vachement chouette !

 

Bref, j’ai fait ma première soirée à l’ULB.

Chapitre 4 :

Le mal est en moi, il fallait bien qu’il entre un jour où l’autre ! Rassurez-vous je ne parle pas du démon mais du mal qui touche la population en cette période d’hiver … la fameuse gastro !

 

En même temps je trouvais ça bizarre qu’en 1 mois rien ne me sois arrivé. D’habitude, ça arrive plus rapidement, mon corps à besoin de se purifier pour ensuite emmagasiner mon nouveau mode de vie.

 

De ce fait, c’est médocs – lit – toilette et cela en permanence. Heureusement qu’en bon Français je possède une importante trousse à pharmacie. Il est souvent dit que les Français préfèrent l’automédication que d’aller chez le médecin, or une étude (2013) menée AESGP Eurostat nous apprend que nous avons les dépenses par habitant en automédication les plus faibles d’Europe, avec 32.40€/hab alors que la moyenne européenne est de 42.20€.

 

Bon c’était le moment, on casse les clichés mon copain !

 

Sinon, toute cette semaine il y a une grande fête en Belgique, enfin du moins à Bruxelles à l’ULB, qui tourne je vous le donne en mille … autour de la bière pardi ! Cela s’appelle la semaine Brassicole, il y à a la carte plus de 180 bières spéciales à déguster. Des classiques (Barbar, Saint-Feuillien) aux plus osées (Blanche de Bruxelles). Avec une nouveauté cette année : la Cuvée Semeur, spécialement brassée pour l’occasion.

 

Un évènement à ne pas manquer, j’y suis donc allé y faire un tour. Mon ventre n’a cas bien se tenir, mon esprit sera plus fort ! Je n’ai pas non plus fait trop le fanfaron en ne goutant que 2 bières, la Quintine et une autre spéciale dont je ne me souviens pas du nom mais qui avait le gout d’un café pétillant. Je parle des bières mais je me dois aussi de vous décrire l’ambiance, le lieu, l’atmosphère !

 

Hop on recommence, petite séance de relaxation mon copain, allonges toi dans ton canapé, sirote un petit thé et surtout ouvre grand ton esprit et tes oreilles.

 

Pour les connaisseurs c’est un peu comme une petite Braderie. Y a des chapiteaux blanc qui fleurissent un peu partout, sur une pelouse à l’origine verte mais qui au fil de la brassicole se transforme en du bon gros champ, bien labouré.

 

Imagines toi en chaussure de rando ou en botte, essayant de te frayer un chemin entre les pousses de mais jusqu’au bar. Un vrai labyrinthe qui demande une connaissance accrue du terrain et une agilité hors pair, pour arriver à se faufiler entre la populace festoyant et buvant  à tire larigot.

 

Des troubadours sont là, pour divertir la foule en délire. Oui oui des troubadours, un peu plus high tech que leur ancêtre mais ça n’en reste pas moins des amateurs ! L’on ne peut pas dire que la musique techno belge soit bien représentée lors de ce festival. Si la populace s’enjaille c’est seulement dû au nombre de pintes de bières engloutis durant la journée. Rien de très motivant, appuyer sur des touches pour sortir de la musique d’ascenseur, je préfère limite un CD de Johnny, ça mettrais déjà plus d’ambiance et on saurait pourquoi on se marre.

 

 

JOHNNY FOR LIFE <3.

 

 

Bon y a mon estomac qui essaye de reprendre le dessus, je vais devoir aller chercher mes potes Smecta et Bicitrole pour lui remettre une petite raclée, il finira bien par comprendre et se calmer. Mes copains à tchao bonsoir.

Le mal a été vaincu, mon bien être a triomphé !

 

Semaine éprouvante mon copain, avec tout ce qui s’est passé en moi je suis surpris de ne pas avoir été plus mal. Comme dirait la Française des Jeux (dans une pub) « y a une justice tout de même », j’entends par là que ce fût un mal pour un bien. Cette semaine de repos m’a été bénéfique à différents points de vue (petite cure de désintox’, regain de vitalité, etc ..).

 

Aujourd’hui je vais vous parler de mes/nos exploits culinaires. Et oui, depuis que je suis arrivé sur Bruxelles … il faut bien que je mange car comme dirait mon petit père « faut mettre de l’essence dans le moteur » ! De ce fait, il est hors de question que je mange des pizzas surgelées ou autres produits tout faits. Donc, avec Nicolas, nous nous lançons chaque jour dans la confection de petits mets divinement bons (sisi jt’assure frère !).

 

Si nous devions créer un podium de nos découvertes et créations culinaires je pense que l’on mettrait en 1ère place la pizza, puis la tartiflette et enfin la tortilla fourzitout (j’en parlerai une prochaine fois de ce plat !).

 

Parce que, oui, je peux dire que ce voyage m’aura appris quelque chose de vachement utile, cuisiner des aliments frais et en grande quantité.

 

Bon alors, je vous explique le podium maintenant, assied-toi, mets un bavoir et prépare-toi à saliver parce que la suite s’annonce croustillante. Je vais te conter l’histoire de la première place du podium, celle des pizzas. Tu peux lancer la musique suivante, histoire d’être encore plus dans notre atmosphère lors de nos préparations : https://www.youtube.com/watch?v=PLbNjEL2vZA

 

Hop hop on se lance, il faut déjà que tu visualises notre cuisine. Un grand plan de travail en marbre noir, avec un escalier en plein milieu qui permet de rejoindre la table de cuisine et nos frigos. A l’intérieur nous sommes tout d’abord deux. Pourquoi deux ? Il faut bien des courageux pour transformer la farine, la levure, le sel, l’eau et l’huile en une magnifique pâte à pizza.

 

Ah ça oui, il nous en fallut du temps pour malaxer cette pate qui collait partout, de la vrai glue, ça ressemble un peu à de la pâte à sel au début, puis au fil du temps nous avons trouvé une technique. La technique tracto pelle, qui consiste à tenir avec une main le récipient et avec l’autre à piquer la pâte pour la lever comme un pic vert qui taperait dans un tronc, un petit coup sec, net et rapide !

 

Apres 1h de « battage » (je tiens à préciser qu’aucun être humain, aucun animal n’a été maltraité durant cette préparation) et 1h de repos, la pâte était prête ! 20h30 sonnait et nos estomacs aussi … A l’attaqueeeeee. Nos fidèles guerriers nous sont venus en aide : Xena la guerrière et Tutur du turfu !

 

Chacun sa pâte, chacun sa bouteille et sa farine et on y va, on roule, on tape, on caresse ! JE VEUX DE LA CREATION MON COPAIN. Plus difficile pour certains et un vrai carnage pour d’autres, 4 pizzas finirent par sortir des mains et de l’imaginatif de nos 4 pizzaiolos novices !

 

Petite anecdote, nous avons remplacé le rouleau à pâtisserie (que nous n’avions pas) par des bouteilles de pinard de nos dernières soirées ! Cela nous fut bien utile, alors comme dirait Bourvil : « alcool oui mais l’eau ferrugineuse non » (voir le sketche ici).

 

Une bonne soirée, en bonne compagnie, le kot « looping louies » a de beaux jours encore devant lui !

Chapitre 5 :

Tu sais quoi mon copain ? Je viens de me faire violer musicalement parlant …

 

J’étais là, tranquillement posé au bureau, en train de faire de la prospection en écoutant une radio Québécoise, quand soudain *BOOM* les présentateurs ont eu la merveilleuse idée de nous faire une farce je pense. En tout cas je vois que ça ! La musique était vraiment ringarde et infantile.

 

Je voudrais donc faire une stand-up ovation pour l’artiste qui a écrit la chanson « le soleil plein les yeux ». Y a pas à dire, avec des phrases du style « L’amour ça s’apprend pas par cœur, ça change sans cesse de couleurs » sur un rythme monotone, y a du niveau. Je pense qu’avec ce genre de musique ils ont des chances pour l’Eurovision 2015.

 

Qu’est-ce que tu dis ? Canada – Eurovision y a un truc qui cloche ? Oh wait ! Qu’est-ce que je viens de dire … merci mon copain. Rectification du coup, « avec ce genre de musique ils auraient des chances de gagner l’Eurovision, s’il pouvait y participer ». C’est mieux nan ?

 

Je me moque, je râle mais il doit surement mieux gagner sa vie que moi le gredin ! M’enfin j’ai ma fierté et je suis Français, alors râler c’est un sport national. Ah tiens, en parlant de l’eurovision, j’ai vu que nous étions encore bien tombé … Si vous avez un coup de blues et que vous voulez enfoncer le couteau plus profondément vous pouvez écouter notre « fière et digne » représentante : Lisa Angell avec le titre « N’oubliez pas ».

 

Bon m’man ... tu as vu … j’ai parlé d’autre chose que d’alcool pendant plusieurs lignes. Mais y a un moment donné faut être sérieux, comme dit le dicton : « chassez le naturel et il revient au galop »,

 

Une sensation de manque commence à se faire sentir, je respire bruyamment, un souffle d’air chaud t’a surement fouetté le cou (et me demande pas comment j’ai fait pour me retrouver derrière toi !), mes mains transpirent, mon corps tremble et mon cerveau bouillonne. Résister devient difficile, c’est un combat puissant entre ma force de résistance et de plaisir, dilemme dilemme. Le lâcher prise est tellement tentant, mais je dois prendre sur moi, réguler ma respiration, stopper les tremblements, utiliser le bouillonnement de mon cerveau pour une autre tâche !

 

Mais oui, j’ai trouvé, je n’ai qu’a parler du salon « Made In Asia ». T’en dis quoi poulet ? Ça t’intéresse ? Je me lance ?

 

Prépares toi mon copain parce qu’il va y avoir du chemin à parcourir. Et oui, y a pas de bien sans mal, du coup pour rejoindre le palais du geek, nous avons eu besoin de plus 30min de transports en commun.

 

C’était la première fois que je testais le tram Bruxellois, y a rien de particulier à dire, c’est comme notre tram quoi ! Le petit plus, je dirais l’environnement, parce que oui durant tout le trajet, y a d’énormes magnifiques graffitis. Tantôt un chat jouant avec un crâne, tantôt un paysage imaginaire mais qui vous fait voyager rien qu’en le regardant. Le trajet fût donc long mais agréable.

 

Une fois arrivé à destination, c’est-à-dire au parc des expositions près de l’Atomium, la couleur était lancée. Je ne venais à peine de poser un pied à l’extérieur du tram que je vis surgir, d’un angle mort, un cosplayer, tout à fait réussi, de One Piece.

 

Je me suis lancé donc, je suis entré dans ce monde, que je n’avais jusque-là qu’effleuré ! La première chose qui m’a sauté aux yeux c’est la diversité des ateliers : dessin, calligraphie, origami, ikebana, cours de cuisine, tout y passe pour le plus grand bonheur des fans de la culture Asiatique. Mais bon ... avec ma chance habituelle, le temps de faire le tour des stands de manga, de role play ou autres stands de ventes, les activités étaient terminées !

 

Je pourrais continuer à décrire l’endroit mais je commence à être en panne sèche mon copain, je vais plutôt aller remettre de l’essence dans le moteur parce que j’ai mon estomac qui grogne  et ce n’est pas jolie jolie à entendre. Bon du coup on se donne rendez-vous la semaine prochaine pour de nouvelles aventures ? On fait comme ça, je terminerais par la citation de la semaine et je vous laisse méditer la-dessus : « as the Irish say : Here’s to a long life and a merry one. A quick death and an easy one. A pretty girl and an honest one. A cold pint and another one ». 

Chapitre 6 :

Que les festivités commencent !

 

Et ouais mon copain, fini le temps de rire, il est temps de se remettre en selle et de préparer le voyage vers de nouvelles horizons.

 

Oh mais non je ne compte pas quitter pas Bruxelles, il n’est pas question non plus que je quitte mon job, non non tu n’y es pas ! Il est temps pour moi de me lancer corps et âmes dans le travail. Ce qui représente bien une belle et grande chevauchée équestre hein, tu me l’accorderas.

 

Il n’y a pas d’aventure sans travail et il n’y a pas de travail sans réflexion et apprentissage. D’ailleurs pour ce point-là, on peut dire que mon école m’aide bien, 3 e-learnings, un rapport de stage et ma thèse à compléter et à rendre, ça en fait du boulot. J’ai plus le temps de chômer. Alors je te le dis, toi qui est encore en bac + 1, 2 ou 3, profite de ces 3 années d’insouciances, parce qu’après ça sera casse-tête façon rubik’s cube de la mort !(j’extrapole un peu mais je trouvais le titre de l’article marrant).

 

Tout n’est qu’une question de tranquillité, à avoir eu l’habitude de n’avoir en stage que mon rapport à faire … ça bouleverse ma quiétude, ça fragilise mes habitudes ! Mais comme dirait l’autre, quand faut y aller, faut y aller, alors je me suis retroussé les manches et je me suis lancé dans la planification de mon emploi du temps :

 

Je suis parti sur la base que je bosse du Lundi au vendredi de 9h à 17h et que je me couche en général vers 23h – minuit. Ce qui me laisse donc 7h de libre pour effectuer mon travail et mes loisirs.

 

De ces 7h je dois retirer :

  • le temps de trajet en vélo=15 min

  • mon sport quotidien=45min

  • mon repas=1h

Ce qui nous donne – 2h, donc 5h. Si sur les 5h je compte 2h de travail ça me laisse donc 3h de libre. Et si je retire 1h ou je lis des documents pour ma thèse, cela me donne 2h de libre. Parfait pour regarder un film, chiller !

 

Bon le plan d’action est donc :

  • 17h15 j’arrive chez moi,

  • 18h je finis mon sport,

  • 19h je finis ma 1ere partie de travail,

  • 20h je finis de manger,

  • 21h je finis ma 2éeme partie de travail,

  • 22h à minuit je peux faire ce que je veux !

 

Et le weekend c’est FREE PEPITE ! Reste plus que l’organisme qui crée les e-learning, arrête de faire des fautes dans la rédaction des questionnaires et ça serait parfait.

 

Bon sinon, pour parler d’autre chose, j’ai refait (oui ENCORE) des pizzas maison et cette fois je suis monté lv 5 direct + 1.500 points d’expérience, de quoi faire frémir les plus petits pizzaiolos. J’ai demandé à notre ami italien de « toucher » la pâte pour me dire ce qu’il en pensait et le résultat fut sans appel : PARFAIT ! D’ailleurs on a vu la différence, la pâte fût facile à étaler.

 

Seul bémol, la cuisson, à vouloir trop faire parfait on en oublie que 3 pizzas qui cuisent en même temps (malgré une chaleur tournante) ne sont pas pour autant, prêtent en même temps ! La mienne, manquait donc d’un peu de cuisson, notamment pour les pommes de terre qui étaient légèrement croustillante. M’enfin, ça nous a pas empêché de nous péter le ventre *BIIM dans l’estomac* mon copain.

 

Bon ce n’est pas le tout mais j’ai un film qui m’attend, encore un grand film dans la série navet mais ça détend *attention roulement de tambour* j’ai nommé : IRON SKY ! Des bisous et pensez à arroser vos tulipes.

Chapitre 7 :

Accédez au bas de la page, pour lire le nouvel artcile, en cliquant sur cette image.

Alors mon copain, comme tu te sens ? Pas trop chamboulé ? Tu l’as vu passer ce changement horaire ? Personnellement c’est passé comme une lettre à la poste !

 

Je me réveillé, tranquillou pépère et la technologie avait bien fait son taff. C’est parce que je suis allé sur Facebook et que j’ai vu les statuts des ouins-ouins habituels que je suis me rendu compte que nous avions changé d’heure.

 

Il est vrai que ce système est dépassé et mériterait de passer à la trappe, m’enfin ayant un bon sommeil cela ne me dérange pour le moment pas. Mais qui sait, lorsque je serais vieux et que j’aurais dans les 40 balais (BIIMM petite attaque, tu as vu ça !) peut être que je verrais la différence mon copain !

 

Du coup, le seul évènement marquant de ce weekend aura été la pluie, elle a fait son grand « come-back » juste pour notre bon plaisir. AHH non mais siiii il y a d’autres évènements marquants et ils devraient plaire. Toi, l’ami, toi qui est un grand consommateur de musiques / bières ou autres bienfaits de la nature et de la créativité humaine, voici de quoi te ravir :

 

Commençons par le coup de cœur musical de la semaine, ça nous vient direct des profondeurs, un morceau avec un beau jeu de couleurs, qui plus est : un hommage et une invitation à la fraternité franco-belge !

 

Un groupe qui n’en est pas à son premier essai, ils m’avaient déjà bien surpris avec leur titre « Le génie, Gainsbourg » ou encore « Personne peut te sortir de toi, Luchini » et ils viennent de réitérer l’exploit, avec une mixtrap magique intitulée : « "Chez vous", Poelvoorde ». Ce groupe, qui mix des répliques cultes avec des musiques entrainantes, vient d’intégrer (dans ce morceau), un poème de C.Baudelaire que j’aime beaucoup « l’invitation au voyage » (cliquez sur les liens en bleu pour écouter les musiques). Bon, à force de l’écouter, je suis devenu accro alors voici les paroles originales (si vous n’avez pas envie de l'écouter ce n'est pas grave, mais ça serait une grave erreur) :

 

L'invitation au voyage

 

Mon enfant, ma soeur,

Songe à la douceur

D'aller là-bas vivre ensemble!

Aimer à loisir,

Aimer et mourir

Au pays qui te ressemble!

Les soleils mouillés

De ces ciels brouillés

Pour mon esprit ont les charmes

Si mystérieux

De tes traîtres yeux,

Brillant à travers leurs larmes.

 

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,

Luxe, calme et volupté.

 

Des meubles luisants,

Polis par les ans,

Décoreraient notre chambre;

Les plus rares fleurs

Mêlant leurs odeurs

Aux vagues senteurs de l'ambre,

Les riches plafonds,

Les miroirs profonds,

La splendeur orientale,

Tout y parlerait

À l'âme en secret

Sa douce langue natale.

 

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,

Luxe, calme et volupté.

 

Vois sur ces canaux

Dormir ces vaisseaux

Dont l'humeur est vagabonde;

C'est pour assouvir

Ton moindre désir

Qu'ils viennent du bout du monde.

Les soleils couchants

Revêtent les champs,

Les canaux, la ville entière,

D'hyacinthe et d'or;

Le monde s'endort

Dans une chaude lumière.

 

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,

Luxe, calme et volupté.

 

On continu mon copain, mon deuxième coup de cœur de la semaine a été de gouter un super giga hamburger à se taper le cul par terre ! D’ailleurs, le nom et la description en disent longs : « Le champignon, appelez le Monsieur Champi, si vous e le connaissez pas demandez à votre voisin, il saura ! ». Un vrai régal gustatif, il s’agit là d’un pain burger garnit d’une viande à point et ou se battaient en duel champignons et oignions. Le tout recouvert d’un ciel grisâtre qui n’était s’en rappeler l’amertume du poivre. Si ça ne tenait qu’à moi, j’irais m’en chercher un, là maintenant, mais finance et respect du budget oblige, j’irais une autre fois.

 

Comme on dit ici, y a pas de studs à l'aise !* Gros bisous à toi et à la prochain copain.

 

ps: traduction, y a pas de problemes la vie est cool.

Chapitre 8 :

Salutations distinguées mon cher. Oui oui je mets la forme aujourd’hui parce que figures toi que cela fait déjà 2mois que tu viens me retrouver ici, que tu viens contempler mon train-train quotidien, que tu m’observes d’un œil hagard mais si mais si !


Du coup je me suis dit « fini le temps de rire », je suis Français Monsieur et mon pays mérite que je vienne le fouler à Pâques. Ni une ni deux, l’idée m’ayant traversé l’esprit, je me suis rendu compte que mes doigts étaient déjà en train de réserver mon ticket via blabla car !

 

Alala un grand moment partagé au sein de ma famille et de mes ami(e)s ! Je m’étais toujours refusé à rentrer lorsque je suis en stage, pensant que ça serait mieux une immersion totale, mais finalement j’y ai trouvé du bon : revoir mes parents, sortir avec mes potes, retrouver une certaine routine/tranquillité. Parce que oui, rentrer chez soi ça signifie : plus besoin de penser à ce que l’on va manger (quoi de mieux qu’un bon petit plat préparé par sa mère ?), plus besoin de s’inquiéter de l’environnement (et oui, tu contrôles tous les bruits dans la maison, tu sais d’où ils viennent et donc tu dors mieux) mais aussi fini de se lever un matin et de voir que je suis à cours de boxer (slip, string à toi de choisir ce que tu préfères me voir porter) !

 

De plus, rentrer pour Pâques c’est le bon plan, il y  a à manger à profusion et des plats à vous taper le cul par terre ! Autant te dire que je me suis bien rempli la panse mon copain, je voulais te garder un peu de sole mais elle m’a supplié pour que je l’achève, alors j’ai dû lui régler son compte, sorry xoxoxo.

 

Le seul bémol de ces 3 jours a été de voir que le bar « le solférino » a augmenté ces prix le bat’ ! La pinte de karmé ou de kwak est passée de 4€ à 4,50€ POUAHAHAHA, m’enfin ça reste moins cher qu’en Belgique impressionnant n’est-ce pas ?

 

Minute culture du jour, il semblerait que l’on dise en anglais « Spring tiredness » lorsque l’on se sent fatigué durant le printemps. Alors oui, je te vois venir « bah en même temps c’est la traduction littérale, c’est logique couillon », mais NON non monsieur ! Quand je suis fatigué à cause du temps je dis que c’est parce qu’il fait lourd, du coup oui ça m’a fait bizarre d’entendre ça et je lui ai demandé à 2 fois de répéter. Bon voilà, je clos la minute culture.

 

Et sinon en ce moment il a un festival du cinéma sur Bruxelles. Il s’appelle le BIFF, BRUSSELS INTERNATIONAL FANTASTIC FILM FESTIVAL, c’est l’occasion de regarder des films décalés dans un environnement totalement décalé lui aussi (ambiance bonne enfant, bar qui sert des bières). Je te laisse le programme si ça t’intéresse : http://www.bifff.net/fr/presentation/

 

J’enchaine en parlant de marionnette, ça va te rappeler ton enfance mon copain. Les moments passés à la montagne, ou des marionnettistes occupaient la place principale (souvent bondée d’enfants) et nous racontaient, à nous enfants la merveilleuse histoire du petit chapeau rouge.

 

La première chose qui nous traverse l’esprit en parlant de ses spectacles et le fait que le public était mis à contribution, en effet nous nous rappelons tous du moment où le grand méchant loup arrive pour manger la grand-mère et ou le marionnettiste nous demande *vite les enfants il faut la prévenir que le loup arrive*. Du coup, dans un immense brouhaha, tous les enfants de la place criaient *attention* ou le traditionnel et indémodable *derrière toi*.

 

C’est bon ? Ça te revient ? Les souvenirs enfouis renaissent et ça te donne envie d’y retourner pour en revoir un ? Pas besoin d’aller si loin, figures toi qu’il existe un théâtre de marionnettes à Bruxelles, le Théâtre Royal de Toone ! Du coup ça m’a donné envie d’y faire un petit tour, d’autant plus qu’il semblerait que ce soit une tradition en Belgique ce genre de spectacle !

 

Voili voilou, une fin de semaine qui s’est bien déroulée et un début pas trop mal. Espérons que ça continu comme ça, moi je te dis à plus tard puisque je ne doute pas que tu vas continuer à me lire. Gros bisous. Thomas.

Chapitre 9 :

Coucou toi, en voilà une semaine qui commence bien :

 

- Premier bon point, la série Game Of Thrones à repris : il y a de cela 2jours que déjà 4 épisodes sont sortis. Ouais mon copain tu as bien lu pas 1 mais 4 épisodes. Bon bien sûr y a les puristes qui disent que ceux qui ont regardé les 4 d’un coup vont se sentir vides pendant 1mois (normalement il y a 1 épisode par semaine) mais PUTAIN qu’est-ce que c’était bon ! Après avoir attendu de longs mois et en essayant de résister à la tentation de lire les bouquins … me voilà comblé, que dis–je NOUS voilà comblés.

 

- Deuxième bon point, j’ai décidé de booster mon référencement sur internet en me créant un compte sur : Google+, Viadeo et twitter (clique mon copain, clique sur les comptes fais toi un kif). Pour m’aider à gérer les posts que je dois mettre en ligne (je me suis fixé 2 posts par jour et par réseau social) j’ai décidé de t’engager  ... Oui toi mon copain, toi qui me suis depuis un bout de temps déjà. À vrai dire du chemin on peut dire que nous en avons fait ensemble, l’Argentine, l’Inde et pour les plus anciens et fidèles l’Angleterre !

 

De ce fait, à partir de maintenant, c’est toi qui seras en charge de gérer ma « e-réputation » en postant pour mon compte des posts intéressants et sans aucune rémunération/gratification ! Comment ? De l’esclavage tu dis ? … Bon allez ressaisis-toi mon copain, c’était une blague je ne compte pas t’exploiter, pour m’aider dans ma tâche j’ai téléchargé un outil du nom de Buffer.

 

Buffer est un logiciel informatique qui me permet de poster en simultané sur Facebook, Twitter, Google+ et Linkdin ! Oui oui par exemple pour partager cet article en 1 clic j’appuie sur la touche Buffer de mon PC et je sélectionne sur quoi je veux que l’article soit publié, simple et rapide c’est devenu un allié de poids.

 

- Troisième bon point, il semblerait que j’ai eu de la jugeote en 2011 ! En effet, je m’étais créé un compte twitter afin de réserver le domaine @ColletThomas (c’est ce qui permet aux utilisateurs de twitter de converser avec moi). Je l’avais complétement oublié et je viens seulement de m’en apercevoir. Si tu avais pu voir la joie parcourir mon visage (et gare à toi si tu dis que ça arrive pas souvent), parce que j’étais bien embêté en me créant mon compte twitter actuel j’avais dû mettre @thomas_collet92 (ce qui ne plaisait pas trop), tu me diras ce n’est pas bien grave mais bon j’ai eu de la chance et ça a fait ma journée.

 

Bon sinon le beau temps a fait son apparition, le soleil vient taper dans la vitre de mon bureau pour me caresser le bras et la nuque, histoire de me rappeler qu’il y a 1an j’étais en short, Tongue et tee-shirt à Buenos Aires ! C’est tout de même plus agréable un temps pareil en vélo, dommage seulement que nous n’ayons pas de jardin à disposition au kot.

 

Ah tiens au faite, hier j’ai regardé « The voices » un film américain racontant les délires paranoïaques d’un mec pensant que son chat le manipule. L’affiche et la bande-annonce avaient l’air pas trop mal mais ça c’est gâté au fur et à mesure que le film avançait … Encore un bon navet qui ne mérite d’être regardé que complétement arraché ! M’enfin on se l’ait regardé entre coloc’ et on s’est quand même bien marrés.

 

Je me demande ce que je vais me faire à manger tiens. Parler du film m’a donné faim, faut dire que le gars passe son temps à découper des corps humains pour les mettre dans son frigo. Et qui dit frigo dit nourriture *humm miam miam* Si je suis motivé je me ferais bien truc léger comme un dourüm ou un pie fourré à la viande, nan je déconne je me ferais bien une petite salade de fruits afin de tester le régime détox que s’était fait Débichou la semaine dernière, t’en penses quoi l’ami(e) ?

Chapitre 10 :

« Regardez ! C'est un oiseau ? C'est un avion ? Non c'est super Thomas. Plus rapide qu'une flèche invisible, plus puissant qu'une fourmi, volant plus haut qu'une poule. L'être étrange venu de la planète Lilloise, l’homme d'acier : Thomas Collet ! ». Et ouais mon copain la populace scandait cette chanson à mon passage, lors des 10km de Bruxelles, de quoi en démotiver plus d’un et de me rebooster.

 

Parce que OUIIII Monsieur, malgré le fait que je ne sois pas un grand coureur et que je ne prenne pas le temps de m’entrainer non plus, je me suis lancé dans cette folle aventure de finir les 10km de Bruxelles. Une course à en perdre haleine mais qui m’a permis de me dépasser et pour ça j’en suis très fier.

 

Le parcours n’était pas des plus faciles en plus, de quoi rajouter du piquant ! Je t’ai fait un petit montage vidéo, ou l’on voit ma magnifique crinière blond vénitien flotter au grès du vent puis ou l’on me voit franchir la ligne d’arrivée en réalisant un magnifique sprint final. Je ne compte pas la publier pour le moment puisque je dois finaliser quelques petits trucs, mais pour ça il me faut mon MAC (y a pas à dire mais Imovie c’est un super outil). Du coup faudra attendre mon retour en France, dans les alentours de mai, avant que je puisse la publier mais en attendant j’ai publié quelques photos dans la partie Galerie.

 

Sinon pour le résultat j’ai fini la course à la 770emes place sur 4200 participant et en réalisant un temps de 1h02min. Pour une 1ere fois je trouve que c’est pas mal, au fond de moi je sais maintenant que je peux le faire et je pense même pouvoir réaliser une performance me permettant de descendre en dessous des 1h ! De ce fait je compte bien réitérer « l’exploit » lors des 10km de l’ULB (une université à Bruxelles), affaire à suivre mon copain.

 

Toujours en parlant de performance et de challenge, je compte aussi me lancer dans une aventure totalement différente. Figures toi qu’il existe à Bruxelles un restaurant qui offre un voyage en Espagne si le client arrive à manger 2 de ses Hamburgers. Mais attention c’est un hamburger de compétition le bazar, c’est quasiment LE restaurant que nous voyons dans les 12 travaux d’Astérix, je vais donc devoir effectuer un pèlerinage de la BD pour demander des conseils à Obélix tiens !

 

Ça sera un peu moins glorieux que de finir une course mais comme je le dis toujours ma seule vraie religion c’est la bouffe et la bière l’ami ! Et là je pourrais faire les deux : manger et boire. D’autant plus qu’il parait que ses hamburgers sont super bon.

 

Tout comme les 10km de l’ULB c’est une affaire à suivre donc.

 

Sinon je n’arrête pas de dire que les Bruxellois sont fous en voiture, qu’ils n’en ont rien à faire des vélos et bien je viens d’en avoir la confirmation.

 

J’ai failli me faire renverser y a 2 jours … J’étais là posé au milieu de la route à compter les moutons dans le ciel quand soudain ... Nan je déconne mon copain, ce qu’il s’est vraiment passé le voici : j’étais en train de suivre une voiture qui a freiné d’un coup et je me suis retrouvé juste derrière ses fesses à même pas 20 cm, ce que je n’avais pas anticipé c’est qu’elle cherchait à se garer ... De ce fait voilà que le conducteur commence à reculer, à l’aise, sans m’apercevoir. J’ai eu le temps de sauter de mon vélo et de tourner ma roue sinon je pense bien que j’étais bon pour la changer. M’enfin plus de peur que de mal, tout s’est bien passé, heureusement que j’ai tapé dans son coffre et que des conducteurs ont klaxonné pour le prévenir sinon il n’aurait rien vu avant d’avoir coupé le moteur.

 

Je lui aurais bien mis un petit clacot derrière les oreilles à celui-là, en mode Ninja, mais pour ça faudrait déjà que mes jambes ne me fassent plus souffrir. D’ailleurs je suis à la recherche d’un ou d’une personne afin de venir me masser les cuisses. Si jamais tu es motivé ou que tu connais quelqu’un fais-moi signe mon copain.

 

Bon sur ces bonnes paroles je t’embrasse et je te dis à bientôt pour de nouvelles aventures.

Chapitre 11 :

Coucou copain je t’ai manqué ? Il est vrai que j’ai sauté notre rendez-vous de la semaine dernière … mais j’avais une bonne raison je te jureeeeee !! De quoi ? Je suis comme tous les autres ? Bon c’est vrai j’assume y a pas d’excuse mais je compte bien me rattraper aujourd’hui.

 

Bon alors, tu vas encore me dire que je parle, encore, que de ça mais en même temps, je suis étudiant dans un quartier étudiant dans une collocation d’étudiants. Bref maintenant que c’est dit, ça te tente un cantus ?

 

Oui oui tu as bien entendu, un cantus ! Il s’agit d’une fête Belge dont, comme tu t’en doutes, le principal but est de partager quelques pintes de bières en bonne compagnie et en musique. Ça, c’est l’explication soft d’un cantus, maintenant prépare-toi à prendre une claque, parce qu’un cantus, c’est aussi ça :

 

« L’occasion de se regrouper,

Dans un lieu confiné,

Où bières et chansons,

Riment avec dépravation. »

 

Enfin quand je dis dépravation, tout est relatif : cela dépend de la quantité de bière que tu ingurgites et de ta résistance, si tu vois ce que je veux dire (sisi spéciale dédicace à « la brioche » koeur koeur love). Parce que oui un cantus ça dure longtemps et ça commence tôt.

 

Concernant le déroulement et l’ambiance, sache que pour chaque cantus, il y a thème. Mais cela ne veut pas dire qu’il faut t’habiller de façon à le respecter, non il est surtout utile lorsque des participants arrivent en retard. Et ouais copain, si tu arrives en retard tu dois inventer une excuse, une histoire en relation avec le thème sinon c’est pénitence pour toi (c’est-à-dire des cul-secs de bières). D’ailleurs le thème de mon cantus était basé sur (je te laisse deviner) :

 

« Oyez, Oyez, matelots de tous bords, souquez vos calles et sifflez vos amarres ! Les membres investis de notre bel équipage remuent une fois de plus ciels et mers pour voguer en votre compagnie ! viendez! » (Pirate)

 

Pour ce qui est du lieu de débauche ! Euh attend … STOP rewind. On va la refaire hein tu en penses quoi ?

 

Alors pour ce qui est du lieu il s’agit principalement d’un endroit fermé, un vieux bâtiment assez petit comme un garage par exemple. Que trouve-t-on à l’intérieur ? Et bien je vais te le dire l’ami, doucement rien ne presse. Donc je disais, à l’intérieur de cette pièce il y a des tables et des chaises en bois. Ah ouais je viens d’y penser mais faut que tu vides ton esprit pour essayer de visualiser le Bazard !

 

Bon reprenons, les chaises et tables sont disposées de façon à former un U. Un U où il y aura à gauche et à droite les participants et au milieu le président de cérémonie ainsi que son troubadour et son bourreau. Comme tu t’en doutes, l’événement se déroule comme dans un jeu, nous devons respecter les « souhaits » du président auquel cas *COUIC* le bourreau fait son office (ou plutôt la bière ici).

 

Durant tout le temps du jeu, les participants sont amenés à chanter des chansons paillardes. Ne me demande pas de t’en chanter une cela me serait impossible puisqu’il faut un tout pour chanter (atmosphère, lieu, les personnes etc). Néanmoins si ça t’intéresse Google est ton ami !

 

Ce fut une belle expérience dont je garde d’agréables souvenirs (mon foie surtout mais il en redemande l’animal).

 

Et pour finir en beauté voici la surprise. Mon site web regroupant mes différents projets et blogs ! Enjaille toi comme un petit fou c'est free entrance. http://thomascollet.wix.com/thomas-collet

 

Amour et chocolat. Thomas.

Chapitre 12 :

Chapitre 13 :

Salut copain, tu as une petite faim ? Parce que moi je ne sais pas toi mais j’ai une faim de loup, je pourrais faire un marathon de Food-trucks là !

 

D’ailleurs en parlant de marathon je n’ai pas pu faire celui d’Uccle … Et oui que veux-tu, les marathons ne se ressemblent pas. Du coup lorsque j’ai voulu réservé ma place (lundi soir) et bien je n’ai pas pu puisqu’il fallait payer par virement bancaire et non pas par carte bancaire.

 

Alala les Belges et les cartes bancaires ils ont un gros retard la dessus. Que ce soit au supermarché ou en ligne, le plus souvent il n’est possible de payer que par Bancomat ou PayPal.

 

Bref je me suis fait avoir !

 

Bon sinon il me semble que nous nous éloignons de notre principal sujet de discussion : la nourriture. Alors je te disais que j’ai une faim de loup ce qui signifie que toi et moi nous allons devoir aller faire des courses mon copain, direction Colruyt.

 

Comment ça tu ne connais pas Colruyt ? Bon va falloir palier à ce manque mais avant toute chose, je viens d’apprendre le décès de B.B King la légende du Blues alors écoutons une de ses chansons en compagnie d’Eric Clapton : The Thrill Is Gone

 

Il y avait de la magie dans ses doigts. Bon alors comme ça tu ne connais pas Colruyt, je vais remédier à ça.

 

Colruyt est une chaîne de supermarchés belge, qui a vu le jour en 1928, dont le nom provient du fondateur de l’entreprise familiale : Franz Colruyt. Au début le supermarché était spécialisé dans l’approvisionnement des épiciers détaillants de la région pour tout ce qui concerne les denrées coloniales comme le café, épices.

 

Puis à partir de 1950 tout va s’accélérer. Franz Colruyt décide de créer l’entreprise Franz Colruyt, une entreprise qui sera spécialisé dans tout ce qui est vente en gros et en alimentation. 3 ans après il crée une autre société, la société Boni qui est une société de livraison pour les épiciers indépendants affiliés. Ce qui va lui permettre d’avoir un gros carnet d’adresses.

 

L’arrivée du premier Colruyt comme nous le connaissons aujourd’hui, c’est-à-dire un hard-discounter, arrive en 1965 et à Bruxelles sous le nom de Discount. Ce n’est qu’en 1976 que Franz Colruyt décide de sceller l’identité du magasin en rebaptisant ses enseignes : Colruyt.

 

Du coup Colruyt c’est un peu le Lidle de chez nous ? Hum pas vraiment l’ami, certes c’est un hard-discounter mais pour réduire ses couts, les magasins Colruyt vont très loin. C’est un peu comme si tu fusionnes un Lidle avec la semaine des gros volumes sans rechigner sur la qualité !

 

Le succès de cette société est basé sur 2 critères :

- la société propose les prix les moins chers dans chacune de ses catégories, grâce à un système sophistiqué de pilotage de prix à distance. C’est-à-dire que si vous trouvez un produit dont le prix est plus élevé que chez le concurrent X, vous pouvez demander à Colruyt de s’aligner.

 

- l’espace de vente de ses magasins est à la spartiates et fonctionnels (sobriété des bâtiments, éclairage réduit, revêtement des sols simple, rayons modestes) permettant de réduire considérablement les coûts d'organisation et de gestion.

 

Seul bémol que je retiens, il est impossible de payer par visa. Il faut en effet une carte bancaire Belge ou du cash.

 

Bon sinon à part cela nous avons la visite des policiers il y a quelques jours. Aux alentours de 4 – 5h du matin ils sont rentrés et ont tambouriné aux portes. Comme d’habitude je dormais comme un bébé du coup je n’ai rien entendu mais j’ai vu la réaction de mes coloc’ le lendemain sur facebook. En bref la porte était grande ouverte et ils ont cru qu’il y avait un cambriolage, heureusement pour moi je dors tout le temps avec la porte bien verrouillé (de ma chambre).

 

Bisous mon copain et à bientôt pour de nouvelles aventures.

© 2015 by Thomas COLLET.

Créé via le site Wix.com

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thomas collet
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